L'UNIM soutient l'Institut de la Vision

L’Union Nationale pour les Intérêts de la Médecine (UNIM) a été créée il y a plus de 45 ans par des professionnels de la santé, pour défendre vos intérêts et vous donner les moyens de protéger votre famille, vos investissements et vos associés. 

Au cœur de son ADN, le soutien à la recherche médicale fait partie de ses priorités pour l’avenir. L’UNIM a donc choisi de soutenir un acteur majeur qui fait rayonner la recherche française à l’international : l’Institut de la Vision. 

Il s’agit du premier centre de recherche de dimension internationale entièrement dédié à la recherche sur les maladies de l’œil. 

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L’association UNIM accompagne les travaux de Serge Picaud, Directeur de l’Institut de la Vision, dans le cadre du programme de recherche « Cortical Sight » dont l’objectif est de restaurer la perception visuelle chez les aveugles en stimulant les centres visuels supérieurs dans le cerveau.  

L'institut de la Vision

L’Institut de la Vision est le premier centre européen de recherche intégrée dédié exclusivement à la lutte contre les maladies de la vision. Basé sur le campus de l’hôpital national des 15-20 à Paris, il regroupe plus de 300 personnes travaillant sur un même site en recherche fondamentale, clinique et sur le handicap pour accélérer l’innovation au service du patient.

Le lundi 3 avril dernier, le travail de Serge Picaud, associé à Mickaël Tanter de l’Institut Physique pour la Médecine, a été publié dans la prestigieuse revue scientifique Nature Nanotechnology. Ensemble, ils ont apporté la preuve de concept d’une restauration de la vision grâce à une thérapie associant génétique et ultrasons : la thérapie sonogénétique.

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Docteur Serge Picaud

Docteur en pharmacologie et neurosciences, directeur de l’Institut de la Vision. Il a pris la direction de l’Institut de la Vision le 1er janvier 2021. Il a poursuivi une formation en électrophysiologie (Université de Berkeley, USA) et en histologie du système visuel (Max-Planck Institut du cerveau, Francfort, Allemagne).

Le projet de son équipe porte depuis sur la pharmacologie et la pathologie du traitement de l’information visuelle dans la rétine. Il a proposé une approche de neuroprotection des photorécepteurs basée sur l’utilisation de bloqueurs de canaux calciques puis élucidé l’origine de toxicité rétinienne d’un médicament antiépileptique. Depuis une dizaine d’années, son équipe travaille sur les dispositifs de restauration visuelle par prothèse neuronale et/ou optogénétique. Ces projets font maintenant l’objet de collaborations avec les sociétés Pixium Vision et Gensight biologics pour préparer le transfert clinique de ces approches innovantes.